L’épanouissement professionnel est le principal motif de mobilité.
Le turn-over décrit le rythme de renouvellement des effectifs dans une organisation, c’est un critère souvent utilisé dans les baromètres RH pour juger de « la santé sociale » d’une entreprise. Les directions générales et ressources humaines cherchent à combattre ce phénomène en raison de son impact en termes d’images et de coûts financiers. Il pose également le problème de transfert des compétences. Conserver son savoir-faire, l’entretenir et le développer au gré des départs et des arrivées des collaborateurs est devenu un enjeu capital pour les entreprises.
La formation peut alors apparaître comme une méthode de fidélisation : elle répond aux demandes des collaborateurs, améliore leur implication et les remet à niveau pour atteindre les objectifs fixés.
Dans un climat peu propice à la prise de risque, un cadre sur 5 a changé de poste ou d’entreprise en 2011 en France. Changement de secteur, envie de s’épanouir dans un nouveau poste, mauvaises conditions de travail, blocages avec la hiérarchie ou opportunités de carrière avec une rémunération plus élevée… Les motivations des cadres pour changer de poste sont nombreuses.
Pour accélérer leur carrière et réussir leur mobilité, les cadres s’appuient sur deux canaux principaux : la mise en relation personnelle ou professionnelle et les cabinets de recrutement. Leurs critères d’acceptation d’un emploi sont :
- équilibre vie privée / vie professionnelle,
- évolution de carrière,
- rémunération/ avantages,
- notoriété de l’entreprise...
Si la rémunération est l’une des premières attentes des cadres, elle n’est pas pour autant le principal levier de motivation . La priorité pour les salariés est avant tout le bien-être au travail.
Source : HUB Formation Management sur Viadéo
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